Couverture_Une_petite_vie_Khosraw_Mani14,00 € quantité de Une petite vie Ajouter au panier

Sortie : 12 septembre 2018
112 pages
N° ISBN : 978-2-36956-070-8
Traduit du dari (persan d’Afghanistan) et postfacé par Khojesta Ebrahimi et Marie Vrinat-Nikolov


14,00 

Khosraw Mani

Khosraw Mani est un journaliste et écrivain afghan né à Kaboul en 1987. Diplômé en droit et en sciences politiques, il a travaillé pour Radio Free Europe, été membre du cercle des écrivains, éditeur d’une revue littéraire et jury de festival de Nowrouz.

En 2012, menacé par les Taliban, il décide de quitter la radio pour travailler en freelance, puis se réfugie en France en 2015. Une petite vie est le premier de ses livres à être traduit en français.

Une petite vie

Collection « Sémaphores »

Une petite vie nous invite à un voyage hors des sentiers battus et des représentations que l’on peut avoir de la littérature afghane.

L’auteur y met en scène un monde, en l’occurrence un café, dans lequel la réalité et l’imagination se mêlent. Un monde dans lequel le lecteur est invité à prendre un taxi imaginaire et à entamer un voyage vers une destination énigmatique. Dans ce café-monde, on peut croiser une musique triste, une musique joyeuse, voir une aventure advenir en un rien de temps, et le silence soudain s’installer. Comme un tableau où l’on pourrait pénétrer sans trop se demander où se trouvent les frontières entre le rêve et la réalité.

Et si la réalité n’était que le fruit de notre imagination ?

Critiques

« Son obsession : jouer les funambules sur une corde qui flatte le flou, entre fiction et réalité. » Yasmine Chouaki, RFI

« Très belle découverte. » Yves Mabon, Lyvres.fr

« Ce livre, à l’image d’un puzzle dont les pièces nous seraient données au compte-gouttes, allume successivement des lampes dont les rayons croisés dessinent l’atmosphère d’une soirée humaine, élevant les mélodies et les sentiments au rang des convives. Il inscrit cette aventure du quotidien dans la grande Histoire. Il faut savourer presque d’une traite… la traduction soignée de Khojesta Ebrahimi et de Marie Vrinat-Nikolov. » Victor Loizillon, revue Etudes